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🌟 La mémoire de la lumière traumatisante

Quand la lumière éblouit au lieu de guider… et devient une peur



« Parfois, ce n’est pas l’ombre que nous fuyons… c’est la lumière. »
« Parfois, ce n’est pas l’ombre que nous fuyons… c’est la lumière. »

Peut-être avez-vous déjà vécu cela…

Vous priez pour vous élever. Vous méditez. Vous ouvrez votre cœur.Et soudain, vous touchez quelque chose de grand, de lumineux.Un espace d’amour pur. Et là, au lieu de vous y abandonner… vous vous refermez.


Votre souffle se coupe.Votre ventre se serre.Vous revenez dans votre mental, dans votre quotidien, dans une énergie familière.Mais une partie de vous sait : vous venez de fuir la lumière.

Peut-être avez-vous souvent ressenti un décalage entre ce que vous désirez spirituellement… et ce que votre corps supporte.


Vous dites oui à la lumière, mais quand elle arrive, vous la rejetez.Vous cherchez l’éveil, mais vous bloquez quand il devient tangible.Vous voulez voir clair… mais vous vous protégez de ce que vous pourriez découvrir.


Cette mémoire est là, dans ce conflit intérieur silencieux :le désir d’être libre, d’être vous-même…et la peur de ce que cela réveillerait.

Car pour beaucoup d’âmes, la lumière n’a pas toujours été douce. Elle a parfois été vécue comme un électrochoc, une perte, un bannissement, une chute.Et aujourd’hui, le corps se souvient, même si la conscience a oublié.

Vous portez peut-être en vous ce que l’on appelle : la mémoire de la lumière traumatisante.


Elle peut venir de :

  • Expériences d’éveil brutales (EMI, sortie de corps non préparée, montée de kundalini non intégrée)

  • Vies antérieures où l’accès à la lumière a été associé à un châtiment ou une perte (exil, punition spirituelle, chute de plan)

  • Vécus terrestres où l’exposition à la vérité, à la conscience, à l’amour même, a été perçue comme dangereuse


🌠 Qu’est-ce que cette mémoire ?


La mémoire de la lumière traumatisante est une mémoire profonde, inscrite dans vos cellules, votre énergie, vos champs subtils.


Elle apparaît lorsque, dans une vie passée ou dans cette vie-ci, la lumière a été perçue non pas comme un refuge, mais comme un danger. Une lumière trop vive, trop soudaine, trop nue… qui a révélé trop vite ce qui n’était pas prêt.

Au lieu d’apporter la paix, elle a apporté un bouleversement. Au lieu d’élever, elle a fragilisé. Et l’âme, marquée par cette expérience, a mis en place un mécanisme de défense : fuir la lumière pour survivre.


Exemple d’une vie antérieure liée à cette mémoire :

Dans une ancienne existence, vous étiez peut-être prêtre ou prêtresse d’un culte solaire, dédié à la vérité et à l’illumination. Vous avez reçu un enseignement sacré, gardé avec ferveur, jusqu’au jour où la lumière révélée à votre peuple fut interdite. Vous avez été condamné·e, torturé·e ou brûlé·e pour avoir osé éclairer ce qui devait rester caché.

Dans ce choc, la lumière est devenue synonyme de persécution, de trahison, de mort. Et depuis, une part de vous croit encore que « voir trop clairement » ou « porter trop de lumière » pourrait à nouveau vous coûter la vie.

Cette mémoire ne s’efface pas avec la raison. Elle s’adoucit lorsque vous reconnaissez qu’elle est là… et que vous commencez à faire la paix avec la lumière.


Autre exemple de vie passée liée à cette mémoire


Dans une autre incarnation, vous étiez un être stellaire, voyageur du cosmos, porteur d’une fréquence cristalline très pure.Votre mission était de transmettre la lumière d’une civilisation avancée à une planète en transition.


Mais en entrant dans les couches vibratoires plus denses, la lumière que vous portiez a été déformée, mal reçue, voire rejetée.Certains vous ont perçu comme un intrus, un danger, un être à éliminer.

Vous avez dû fuir, ou vous avez été détruit dans une guerre intergalactique où la lumière elle-même fut utilisée comme une arme.

Depuis, votre âme associe l’exposition à une haute vibration à un risque d’anéantissement.Et même aujourd’hui, dans cette vie terrestre, vous ressentez une tension intérieure dès que vous vous approchez trop d’un état de paix, d’expansion, ou de rayonnement.

C’est une mémoire vibratoire — souvent inconsciente — où la lumière n’a pas été une libération, mais un choc.




Dans ces mémoires, la lumière est une menace pour notre système nerveux, notre âme, notre identité.


💡 Comment se manifeste cette mémoire aujourd’hui ?


🌌 Témoignage : une EMI révélatrice

"Je me souviens d’une expérience de mort imminente qui a bouleversé ma vie. J’étais en train de quitter mon corps, je flottais au-dessus de lui, et soudain une lumière m’a happée. Elle était d’une beauté indescriptible, mais aussi terrifiante. J’ai senti que je perdais tout contrôle, que je m’éteignais dans cette immensité.

En revenant dans mon corps, je n’ai pas pu expliquer ce que j’avais vécu. Mais quelque chose s’était figé en moi : depuis ce jour, chaque fois que je me rapproche d’un espace de paix intérieure, de clarté ou de lumière vibratoire, une angoisse monte. Comme si cette lumière allait m’engloutir, me dissoudre, me faire disparaître.

Il m’a fallu du temps pour comprendre que ce n’était pas la lumière le problème, mais la mémoire laissée par cette traversée. Une mémoire où la lumière était trop, trop vite, trop fort. Aujourd’hui, j’apprends à l’accueillir à nouveau… mais en douceur. À mon rythme."

Même si elle vient de très loin, cette mémoire se manifeste dans votre quotidien de façon bien concrète.


Sur le plan physique :

  • Hypersensibilité à la lumière : vous évitez les endroits trop lumineux ou vous ressentez une gêne visuelle même dans des lieux paisibles.

  • Migraines, picotements oculaires, fatigue visuelle sans cause médicale évidente.

  • Difficulté à soutenir le regard d’autrui, comme si regarder dans les yeux vous exposait à un danger invisible.


Sur le plan émotionnel :

  • Peur d’être vu·e pour qui vous êtes vraiment.

  • Tendance à rester dans l’ombre, à ne pas briller malgré vos capacités.

  • Ambivalence intérieure : vous aspirez à rayonner… mais vous vous sabotez dès que la reconnaissance ou l’alignement arrive.


Sur le plan spirituel :

  • Blocages pendant les méditations profondes, ou retour brutal à la conscience dès que vous touchez une fréquence élevée.

  • Difficulté à canaliser ou à intégrer des énergies de lumière très hautes.

  • Sensation que plus vous vous alignez, plus votre système énergétique « disjoncte » ou s’éteint.


Cela peut aussi se traduire par une fuite du silence, du calme, de la clarté — comme si la paix intérieure elle-même devenait étouffante.


En réalité, ce ne sont pas vos dons ou votre lumière qui posent problème. C’est la mémoire ancienne qui crie encore lorsqu’elle les reconnaît.

🔓 Comment accepter et transmuter cette peur


La première étape est simple, mais souvent la plus difficile : oser reconnaître que cette peur existe.Car bien souvent, vous croyez que vous n’avez peur de rien, que vous êtes prêt·e.Vous invoquez la lumière, vous l’appelez dans vos prières, vos soins, vos méditations… mais sans voir que vous en avez peut-être profondément peur.


Cette peur enfouie se manifeste souvent par :

  • le besoin de tout contrôler,

  • l’incapacité à lâcher prise,

  • l’angoisse sourde à l’approche de la nuit,

  • une tension intérieure dès que la lumière, la clarté ou la paix commencent à s’approcher.


C’est la conscience qui libère .Pas le déni. Pas la fuite. C’est le courage de regarder cette peur en face, avec tendresse, et de lui dire : « Je te vois. Je t’accueille. Je ne te laisserai plus me couper de moi-même. »

Accepter cette mémoire, c’est faire un pas d’amour vers votre propre sensibilité. C’est choisir de rencontrer la lumière non pas comme une épreuve, mais comme une présence patiente et vivante, qui n’attend pas que vous soyez parfait·e, mais que vous soyez vrai(e).


Un espace de questionnement pour aller plus loin

  • Avez-vous parfois peur de vous exposer, même dans des environnements sûrs ?

  • Ressentez-vous une gêne à être vu(e), regardé(e), , ou simplement à briller ?

  • Le silence ou le calme intérieur vous met-il mal à l’aise ?

  • Votre corps réagit-il (tension, blocage, agitation) quand vous entrez en méditation profonde ?

  • Vous arrive-t-il de souffrir de troubles aux yeux (vision floue, fatigue visuelle, hypersensibilité à la lumière) sans cause médicale évidente ?


Ces signes peuvent révéler que vous portez cette mémoire. Il ne s’agit pas de juger ou de forcer un passage. Il s’agit d’écouter.


👁 Le lien oublié avec les yeux


Les yeux sont les premiers à « voir » la lumière. Ce sont eux qui reçoivent le choc, l’éblouissement, la clarté… ou l’excès. Lorsque cette mémoire est active, les yeux peuvent devenir douloureux, fatigués, ou hypersensibles. Il peut aussi y avoir une tendance à éviter le regard des autres, à fuir le miroir, ou à refuser de « se voir » dans sa vérité.


Ce symptôme est souvent sous-estimé. Et pourtant, les yeux sont le seuil entre l’extérieur et l’intérieur. Ils révèlent si nous sommes en paix avec la lumière… ou encore en tension face à elle. C’est choisir de rencontrer la lumière non pas comme une épreuve, mais comme une présence patiente et vivante, qui n’attend pas que vous soyez parfait(e), mais que vous soyez vrai(e).C’est la mémoire ancienne qui crie encore lorsqu’elle les reconnaît.


🌟 Conclusion vibratoire

Si vous portez cette mémoire, vous n’avez rien à réparer. Vous avez simplement à réconcilier ce qui a été séparé : la lumière et la douceur, l’éveil et la sécurité, l’élan et le respect de votre rythme.

Vous êtes sur le chemin du retour à vous-même. Et peut-être qu’aujourd’hui, pour la première fois, vous pouvez murmurer à votre âme :

"Je ne te forcerai plus à aller trop vite. Je te suivrai dans ton rythme sacré. Et ensemble, nous ferons la paix avec la lumière."

Car la vraie lumière n’arrache rien. Elle éclaire sans violence. Elle vous attend là où vous êtes… et vous accueille exactement tel que vous êtes.




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