top of page

🌿 Les Anges de la Mort et les Enfants Non-Nés : une mémoire oubliée à guérir




« Et si ce n'était pas votre douleur, mais celle d'une âme qui n'a pas eu le temps de naître ? »

Il y a des soins qui nous marquent à jamais. Des passages vibratoires si puissants qu’ils laissent en nous l’empreinte d’un autre monde. Celui de l’âme. Celui de l’invisible. Celui des vérités oubliées.

Ce jour-là, j’ai accompagné un homme que nous appellerons Élie. Il ne s’attendait pas à rencontrer la mémoire des Anges de la Mort. Il ne savait pas non plus qu’au creux de son souffle brisé se cachait l’écho d’un frère non-né, d’un enfant silencieux que personne n’avait jamais nommé.



Et pourtant… tout était là. Prêt à se révéler.


🌬️ Étouffer dans l’invisible


Dès le début du soin, la sensation fut claire : étouffement. Une gorge serrée, un souffle court, un corps désaligné.J e le voyais dans un marais éthérique, englué dans une boue vibratoire. À chaque mouvement, des lianes invisibles le retenaient. Comme s’il ne pouvait pas avancer. Comme s’il n’avait pas le droit de respirer pleinement.


Et puis ce détail étrange : le côté gauche de son corps semblait flotter, absent, décalé. C’est là que l’âme m’a murmuré :

“Il manque un souffle. Il porte un souffle qui n’est pas le sien.”

👶 Un bébé non-né, un frère silencieux


En plongeant plus loin dans cette mémoire, l’image d’un enfant mort-né s’est imposée. Pas une fausse couche oubliée. Un triplé. Trois âmes.. Et l’âme d’Élie, celle qui s’est incarnée, portait depuis toujours le poids invisible de l'enfant mort né.

“Tu as pris son souffle. Et tu ne te l’es jamais pardonné.”

C’est là que s’enracine le syndrome du survivant, mais dans une version encore plus profonde :"Je vis à la place de l’autre." Alors Élie, sans le savoir, vivait à moitié. Il s’interdisait d’être pleinement présent. D’exister avec fierté. Car quelque part, il pensait que sa naissance avait été une injustice.


🕊️ Une lignée marquée par les anges de la mort


Mais ce n’était que la première couche.

Lorsque j’ai appelé les informations vibratoires de sa lignée, un frisson sacré est descendu dans la pièce. Je voyais une femme, dans une autre vie, aidant d’autres femmes à interrompre leurs grossesses. Elle n’agissait pas dans la haine. Elle était appelée “ange de la mort”.Et cette femme, c’était sa propre mère, dans une autre incarnation.


Une guérisseuse, une prêtresse, une passeuse…Mais qui, un jour, a tenté d’aider une jeune fille violée, trop fragile, trop blessée…Et cette jeune âme ne l’a pas supporté.


Depuis ce jour-là, l’âme de cette femme a porté une mémoire de culpabilité sacrée, une mémoire d’ombre noble, de mission échouée.

Et Élie, en naissant d’elle, avait accepté de reprendre cette mémoire dans son propre corps.


🔗 Le médaillon vibratoire


Dans cette séance, une image forte est revenue : un médaillon.

Pas un bijou classique. Mais un objet éthérique, ancien, scellé, connecté à toutes ces âmes non incarnées. Ce médaillon agissait comme un verrou vibratoire .Il retenait des âmes dans l’entre-deux .Il empêchait l’être incarné de se sentir “libre de vivre”.

“Je porte ce médaillon comme un rappel que je ne suis pas digne d’exister.”

Mais ce médaillon peut être purifié, transmuté, libéré. Et c’est ce que nous avons fait, ensemble. Avec des mots sacrés. Avec le souffle. Avec le tambour.


✨ Une phrase sacrée comme porte de lumière


Durant la séance, une phrase est descendue. Elle venait d’un autre plan. D’un lieu sacré au-delà du temps :

HALMAHAM KHAL MAHAM

Cette phrase est une clé vibratoire .Elle signifie, en langage de l’âme :

“Par le souffle ancien, je traverse le Portail Sacré, et je redeviens vie.”

Elle est reliée au Jardin d’A’Lem Ta’ha, un lieu subtil où les âmes vont pour réparer leurs ailes. Dans ce jardin, il y a dix centres de guérison, dont celui des enfants non-nés, celui des trois cœurs, et celui des ailes brisées.


Élie a accepté de guider les âmes liées à lui vers ce jardin. Il a prononcé ces mots :

“Je laisse aller toutes ces âmes vers le Jardin sacré d’A’Lem Ta’ha.”

Et quelque chose s’est ouvert.


💗 Réparer les ailes de l’âme


Les ailes de l’âme ne sont pas des plumes.Ce sont des trames vibratoires qui permettent à l’âme d’exister pleinement dans sa lumière.

Chez Élie, l’aile gauche était blessée. Celle qui porte le féminin sacré, la douceur, la capacité à manifester.Blessée par un cœur brisé. Par une mémoire transgénérationnelle. Mais aussi… par amour, par loyauté inconsciente envers ceux qui ne sont pas venus.


Le soin a permis de restaurer cette aile, de recoller les fibres invisibles du cœur. Et au moment où il a appelé la Mère Sacrée et le Père Sacré, une enveloppe lumineuse l’a entouré. Son corps a cessé de flotter. Son souffle s’est ancré. Il est revenu en lui.


🕯️ Et vous, portez-vous cette mémoire ?


Peut-être avez-vous aussi un frère ou une sœur non-née dont on ne vous a jamais parlé. Peut-être ressentez-vous des douleurs inexpliquées côté gauche. Peut-être vivez-vous avec une impression de ne pas être à votre place, d’être un “intrus dans l’incarnation”.


Peut-être même portez-vous inconsciemment la mémoire des anges de la mort, ces femmes qui ont aidé d’autres femmes, avec lumière ou confusion, à accompagner des âmes sans passage.

Ces mémoires sont anciennes. Profondes. Mais elles ne sont pas figées.


🌸 Une invitation à la paix

Le Jardin d’A’Lem Ta’ha existe. Il vibre. Il vous attend.Si vous vous sentez appelé(e) par ce que vous venez de lire, c’est que votre âme reconnaît ce lieu.


Il est temps, maintenant, de rendre leur souffle à ceux qui n’ont pas pu naître. Il est temps de reprendre le vôtre, pleinement.

Voici les mots que vous pouvez prononcer pour commencer :

"Je laisse aller toutes les âmes liées à moi, vers le Jardin d’A’Lem Ta’ha. J’appelle la paix pour ma lignée, pour mon corps, pour mon cœur. J’accueille la réparation de mes ailes d’âme. Et je choisis, ici et maintenant, de respirer à nouveau, pour moi."


Je suis là pour vous guider, si votre âme le souhaite.


Avec amour et lumière,Marie Noelle


"Il n’y a pas de petites âmes. Il n’y a que des passages à honorer."


Commentaires

Noté 0 étoile sur 5.
Pas encore de note

Ajouter une note
bottom of page